Plonger dans la Résistance aux côtés de June, au début de cette saison 2 faite de cavale, d’espoirs et de tension, c’était fantastique.
Je peux vous dire que bosser dans un média plutôt à gauche, pro-liberté individuelle et diffusant des messages ouvertement féministes, ça a rendu certaines scènes encore plus poignantes pour moi…
L’autel que l’héroïne offre aux journalistes assassiné·es du Boston Globe a failli me tirer des sanglots.
Les Colonies, zone de travail forcé jusqu’à la mort, se dévoilent sous les yeux du public. Preuve que Gilead est une société malade : ces terres empoisonnées semblent parfois permettre plus de liberté que les austères maisons de Boston…
Au Canada, Luke finit face à Fred, les yeux dans les yeux avec l’homme qui viole rituellement sa femme.
Serena est forcée d’affronter la réalité de ce qu’elle a aidé à créer, la détresse de ceux qui lui ont échappé et manifestent contre ce qu’elle représente.
L’étrange nouveau Commander d’Emily est lui aussi une fenêtre ouverte sur un pan jusque-là caché de Gilead. Le monde du remords, des conséquences, des gens qui ne rentreront jamais dans les cases rigides singées par les Waterford.
June est plus déterminée que jamais à renverser la République de Gilead. La servante des Waterford pourra compter sur des alliés de taille pour mener son combat. Serena en fera t-elle partie ?