Si Clarice veut avoir une chance d’aller au fond de la conspiration de l’essai de drogue, elle devra peut-être (au moins) essayer de jouer gentiment. Mais sachant ce que nous savons sur Starling, il semble que la confiance continuera d’être un obstacle majeur pour l’agent souffrant du SSPT qui, pour être honnête, a été témoin d’une vie d’horreur jusqu’à présent.
Ce qui m’intéresse dans Clarice c’est le passé de l’héroïne et la façon dont la série explore sa psychologie torturée. L’avantage de ce second épisode est peut-être de passer plus de temps avec les co-équipiers de Clarice mais rien ne décolle réellement non plus. Toute l’histoire de la semaine aurait pu être excellente mais malgré la portée du propos (le trafic d’êtres humains) rien ne tient vraiment. C’est comme si les scénaristes tentait de faire tenir la tapisserie avec de la colle UHU. Cela ne peut pas fonctionner.